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Conférences, témoignages

Témoignages de mamans endeuillées

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Chantal a partagé son témoignage, dans l’émission Toujours Debout sur RCF, de son chemin de deuil, après le décès de son fils Vincent, pour lequel elle a été accompagnée par notre association avant de nous rejoindre comme bénévole.

Nous vous invitons à écouter comment elle a pu rallumer sa flamme de vie.

6 années avant de poser un diagnostic pour finalement apprendre que son fils est atteint d’une maladie neuro dégénérative.
19 années à accompagner Vincent avant qu’il ne s’éteigne.

Les personnes de l’entourage de la famille qui veulent témoigner de l’attention, doivent savoir se montrer persévérantes, …avec douceur: tendez la main, re tendez la main, acceptez que la main tendue ne soit pas prise, tel est le message de Chantal

Chantal : Tant qu’il y a une flamme, il y a de la vie

Martine : « Le Chemin du deuil ne sera jamais fini »

 

Vidéo de la conférence « Consolation »

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 » Consolation » de Anne-Dauphine Julliand

 

L’autrice de Deux petits pas sur le sable mouillé livre un récit lumineux qui aide à vivre avec la douleur.
Le récit tisse avec grâce des scènes vécues et des réflexions qui touchent toujours juste. Anne-Dauphine Julliand évoque ses deux filles, Thaïs et Azylis, mais aussi Loïc, son mari, Gaspard, son fils aîné, et enfin Arthur, le petit dernier. Elle rend hommage à tous les consolants : une sœur qui vous rend dans les bras, une infirmière qui s’assoit sur le bord du lit et prend juste le temps » d’être là « . Elle a le don de ces scènes courtes qu’elle rend inoubliables. Anne-Dauphine Julliand refuse l’idée selon laquelle la douleur doit s’effacer une fois  » le travail du deuil  » accompli. Pour elle, les pages ne se tournent pas, elles s’ajoutent. La vie se complique, et tout s’entremêle. Elle ne juge pas, donne des clés, apprend à être avec la douleur, la sienne et celle des autres.  » Ne me secouez pas, je suis plein de larmes « , écrivait Henri Calet.  » Si on ne me touche pas, je meurs « , lui répond Anne-Dauphine Julliand. Plus jamais les lecteurs de ce livre hésiteront à serrer dans leurs bras celui ou celle qui souffre. C’est une déclaration pour le droit de pleurer.

VIDEO : « La mort, parlons-en tant qu’il fait beau »

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Vidéo de la Conférence du  jeudi 25 novembre 2021

Vidéo : cliquez ici

Nous baignons quotidiennement dans des images de mort à travers les médias. Une mort qui apparaît comme « extra-ordinaire », lointaine, abstraite, tandis que les fins de vie «ordinaires» se déroulent souvent dans le silence de lieux clos : «cachez cette mort que je ne saurais voir… »

A travers une conférence grave et légère, tendre et stimulante, le conférencier dit pourquoi il faut parler de la mort quand tout va bien, « quand il fait beau », pour mieux vivre précisément , expliquant que laisser grandir la mort en soi n’est pas une chose triste, loin de là, mais une manière de mieux vivre l’instant présent.

Fidèle à son habitude, Gabriel Ringlet mêle réflexion spirituelle et évocation poétique dans une conférence souriante et encourageante.

Gabriel Ringlet est écrivain, poète, théologien, universitaire et prêtre.

Le deuil et la fratrie : questions/réponses

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La fratrie, trop souvent « oubliée » dans l’entourage de la personne décédée.

Trop peu d’ouvrages ou de témoignages parlant de leur souffrance et de leur parcours de deuil, à ces frères et soeurs qui s’effacent trop souvent devant le chagrin de leurs parents , qui ont perdu leur enfant.

Merci à toute l’équipe de « Mieux traverser le deuil », de nous offrir le replay de ce live.

Regarder le replay ici

 

 

Au-delà des nuages : témoignages d’orphelins

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« Au delà des nuages » film documentaire de 58 min

Disponible en replay sur Arte du 04/06/2021 au 26/12/2021

Prochaine diffusion en direct le mercredi 30 juin à 23:45 sur Arte

À l’image des groupes de parole pour enfants que nous proposons, dans ce reportage tourné aux USA , l’association Good Grief accompagne des enfants confrontés au décès de leurs parents. Une immersion auprès de ces orphelins, dont les mots bouleversent.
Âgés de 5 à 10 ans, Kimmy, Nicky, Peter, Nora, Nolan et Mikayla sont unis par une même blessure : la perte récente d’un de leurs parents, voire des deux, dans le cas de Peter. Chaque semaine, ils retrouvent d’autres enfants qui partagent la même expérience dans les locaux de l’ONG Good Grief. Basée dans le New Jersey, cette association les accompagne dans leur deuil à travers des groupes de parole et des ateliers, au sein desquels ils peuvent exprimer leurs émotions : douleur, tristesse, colère, angoisse, manque… Les bénévoles leur proposent des activités ludiques, recourant à des mots simples pour décrire ce qu’ils traversent. De l’adieu à un ours en peluche dans une salle équipée d’un lit d’hôpital à la reproduction d’un enterrement avec cercueil et tombe miniatures, les enfants se livrent à leurs propres rituels, alors que dans la « pièce du volcan », sécurisée, ils peuvent se défouler, frapper et hurler leur rage.

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