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Nouveautés

Mourir n’est pas te perdre

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Le premier roman de Christophe Fauré : « Mourir n’est pas te perdre »
aux Editions Albin Michel ; disponible dés le 3 novembre 2021.

« Ils s’aiment et se déchirent et brutalement se perdent. Des amants au destin tragique, une mère dévastée, un frère protégeant sa sœur… Ballotés de vie en vie par le mystérieux cycle des existences, ils se retrouvent ailleurs, dans d’autres corps, masqués par un voile d’oubli.

Pourtant, un jour, Tilda, Kate, Steven, Helen et les autres, comprennent que l’amour ne finit jamais et qu’un même lien les unit, encore et encore ».

Dans ce premier roman, Christophe Fauré, psychiatre spécialiste du deuil, nous emporte au cœur d’un vertigineux voyage initiatique où l’amour demeure la seule et unique réponse, par-delà la vie, par-delà la mort.

Notes sur le chagrin

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« Notes sur le chagrin » aux éditions Gallimard – septembre 2021

Séparée de son père vivant en Afrique par la crise sanitaire relative à la pandémie de Covid-19, Chimamanda Ngozi Adichie ne peut quitter les Etats-Unis pour lui faire ses adieux.

Sous la forme de notes, l’écrivaine évoque le chagrin et la rage ressentis devant ce deuil impossible, saluant la mémoire d’un homme qui a traversé plusieurs époques de l’histoire du Nigeria.

 

Mon histoire, c’est votre histoire

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Stéphanie Bataille, comédienne, metteur en scène et
directrice du Théâtre Antoine raconte son histoire dans un
livre « Mon histoire, c’est votre histoire »
Stéphanie a perdu son père, mort de la Covid-19, virus attrapé
à l’hôpital alors qu’il devait subir une opération du cœur.
Malgré de nombreuses demandes, des appels répétés aux
médecins, elle n’a pas pu le visiter, ni le soutenir. Il est mort
dans la plus grande des solitudes. « J’aimerais qu’on remette
l’humain au centre du monde, de la société. En unité Covid,
nous n’avons pas le droit à des visites. Nous avons aussi été
privé de sa mise en bière »
Depuis, elle se bat pour que les règles changent. Avec Laurent
Frémont, elle a créé le collectif Tenir ta main pour obtenir le
droit de visite systématique des familles à leurs proches et
soutenir des milliers de familles confrontées au même sort
qu’elle.

Vivre avec nos morts

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«  Tant de fois je me suis tenue avec des mourants et avec leurs familles. Tant de fois j’ai pris la parole à des enterrements, puis entendu les hommages de fils et de filles endeuillés, de parents dévastés, de conjoints détruits, d’amis anéantis…  »
Etre rabbin, c’est vivre avec la mort  : celle des autres, celle des vôtres. Mais c’est surtout transmuer cette mort en leçon de vie pour ceux qui restent  :   «  Savoir raconter ce qui fut mille fois dit, mais donner à celui qui entend l’histoire pour la première fois des clefs inédites pour appréhender la sienne. Telle est ma fonction. Je me tiens aux côtés d’hommes et de femmes qui, aux moments charnières de leurs vies, ont besoin de récits.  »
A travers onze chapitres, Delphine Horvilleur superpose trois dimensions, comme trois fils étroitement tressés  : le récit, la réflexion et la confession. Le récit d’  une vie interrompue (célèbre ou anonyme),   la manière de donner sens à cette mort à travers telle ou telle exégèse des textes sacrés, et l’évocation d’une blessure intime ou la remémoration d’un épisode autobiographique dont elle a réveillé le souvenir enseveli.
Nous vivons tous avec des fantômes  : «  Ceux de nos histoires personnelles, familiales ou collectives, ceux des nations qui nous ont vu naître, des cultures qui nous abritent, des histoires qu’on nous a racontées ou tues, et parfois des langues que nous parlons.  » Les récits sacrés ouvrent un passage entre les vivants et les morts. «  Le rôle d’un conteur est de se tenir à la porte pour s’assurer qu’elle reste ouverte  » et de permettre à chacun de faire la paix avec ses fantômes…

 

Delphine Horvilleur, née le 8 novembre 1974 à Nancy, est une femme rabbin française appartenant à l’organisation juive libérale Judaïsme en mouvement issue du Mouvement juif libéral de France et de l’Union libérale israélite de France1,2, écrivain et philosophe3.

Elle est membre du Conseil des rabbins libéraux francophones ainsi que directrice de la rédaction de la Revue de pensée(s) juive(s) Tenou’a.

L’adieu interdit

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« L’adieu interdit »
de Marie de Hennezel aux éditions Plon paru en octobre 2020.
L’Adieu interdit développe cette dénonciation de la politique de
confinement strict des âgés à l’heure du covid-19, leur interdisant
embrassades avec leur enfants ou petits-enfants, mots d’adieu,
présence de proches. L’accroissement du déni de mort de notre
société, la remise en cause des acquis sur la dignité du mourir, la
négation du besoin d’accompagnement du mourant dans ses
derniers moments, sont les conséquences de cette politique. Dans un
texte fort, et doux, elle rappelle la nécessité de méditer sur le sens de
l’existence, « et sur une vie où le devoir d’accompagnement de ceux
qui vont mourir impose naturellement la présence et les mots
d’adieu ».