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Conférences, témoignages

Podcast : Au delà du deuil

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L’émission Interception donne la parole à des personnes endeuillées. Que veut dire « faire son deuil », est-ce tout simplement possible ?

Avec Christophe Fauré Psychiatre, Psychothérapeute

C’est la plus grande lapalissade du monde : la mort fait partie de la vie. Pourquoi donc avons-nous tant de pudeur à en parler ? On euphémise, on adoucit les mots : décéder, s’éteindre, disparaître. Des artifices pour rendre la mort moins brutale, sans doute.

A l’heure où les cimetières se préparent pour la Toussaint, suivie du jour des défunts, Interception se penche sur la notion de deuil. Que se passe-t-il en nous lorsque nous perdons, une fois adulte, nos grands-parents, nos parents, notre conjoint, un enfant, un ami ?

 

Cliquer pour écouter le podcast

Témoignages de mamans endeuillées

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Chantal a partagé son témoignage, dans l’émission Toujours Debout sur RCF, de son chemin de deuil, après le décès de son fils Vincent, pour lequel elle a été accompagnée par notre association avant de nous rejoindre comme bénévole.

Nous vous invitons à écouter comment elle a pu rallumer sa flamme de vie.

6 années avant de poser un diagnostic pour finalement apprendre que son fils est atteint d’une maladie neuro dégénérative.
19 années à accompagner Vincent avant qu’il ne s’éteigne.

Les personnes de l’entourage de la famille qui veulent témoigner de l’attention, doivent savoir se montrer persévérantes, …avec douceur: tendez la main, re tendez la main, acceptez que la main tendue ne soit pas prise, tel est le message de Chantal

Chantal : Tant qu’il y a une flamme, il y a de la vie

Martine : « Le Chemin du deuil ne sera jamais fini »

 

Vidéo de la conférence « Consolation »

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 » Consolation » de Anne-Dauphine Julliand

 

L’autrice de Deux petits pas sur le sable mouillé livre un récit lumineux qui aide à vivre avec la douleur.
Le récit tisse avec grâce des scènes vécues et des réflexions qui touchent toujours juste. Anne-Dauphine Julliand évoque ses deux filles, Thaïs et Azylis, mais aussi Loïc, son mari, Gaspard, son fils aîné, et enfin Arthur, le petit dernier. Elle rend hommage à tous les consolants : une sœur qui vous rend dans les bras, une infirmière qui s’assoit sur le bord du lit et prend juste le temps » d’être là « . Elle a le don de ces scènes courtes qu’elle rend inoubliables. Anne-Dauphine Julliand refuse l’idée selon laquelle la douleur doit s’effacer une fois  » le travail du deuil  » accompli. Pour elle, les pages ne se tournent pas, elles s’ajoutent. La vie se complique, et tout s’entremêle. Elle ne juge pas, donne des clés, apprend à être avec la douleur, la sienne et celle des autres.  » Ne me secouez pas, je suis plein de larmes « , écrivait Henri Calet.  » Si on ne me touche pas, je meurs « , lui répond Anne-Dauphine Julliand. Plus jamais les lecteurs de ce livre hésiteront à serrer dans leurs bras celui ou celle qui souffre. C’est une déclaration pour le droit de pleurer.

VIDEO : « La mort, parlons-en tant qu’il fait beau »

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Vidéo de la Conférence du  jeudi 25 novembre 2021

Vidéo : cliquez ici

Nous baignons quotidiennement dans des images de mort à travers les médias. Une mort qui apparaît comme « extra-ordinaire », lointaine, abstraite, tandis que les fins de vie «ordinaires» se déroulent souvent dans le silence de lieux clos : «cachez cette mort que je ne saurais voir… »

A travers une conférence grave et légère, tendre et stimulante, le conférencier dit pourquoi il faut parler de la mort quand tout va bien, « quand il fait beau », pour mieux vivre précisément , expliquant que laisser grandir la mort en soi n’est pas une chose triste, loin de là, mais une manière de mieux vivre l’instant présent.

Fidèle à son habitude, Gabriel Ringlet mêle réflexion spirituelle et évocation poétique dans une conférence souriante et encourageante.

Gabriel Ringlet est écrivain, poète, théologien, universitaire et prêtre.

Le deuil et la fratrie : questions/réponses

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La fratrie, trop souvent « oubliée » dans l’entourage de la personne décédée.

Trop peu d’ouvrages ou de témoignages parlant de leur souffrance et de leur parcours de deuil, à ces frères et soeurs qui s’effacent trop souvent devant le chagrin de leurs parents , qui ont perdu leur enfant.

Merci à toute l’équipe de « Mieux traverser le deuil », de nous offrir le replay de ce live.

Regarder le replay ici

 

 

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