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Bibliographie

Je n’ai pas dit au revoir à mon bébé

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Ces mots sont écrits à l’encre des larmes de ceux qui ont connu le drame d’une grossesse interrompue, que ce soit par mort foetale, fausse-couche, interruption médicale ou volontaire de grossesse, ou autre. Sans jugement, l’auteur pose des mots sur la souffrance du deuil périnatal, d’autant plus lourde qu’elle est méconnue. La Mort intime de Marie de Hennezel a aidé la société et bien des lecteurs à passer du déni de la mort à son intégration à la vie. De même, ce livre invite à une traversée du deuil spécifique de l’enfant à naître, par une approche à la fois physiologique, sociologique, philosophique et psychologique, toute en délicatesse et en profondeur.

 

Un papillon a caressé mon coeur

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« Le 23 juin 2009, ma vie a basculé (. . .). Je me sentais terriblement seule dans cette épreuve et c’est au travers de lectures de témoignages écrits après la mort d’un être cher que j’ai trouvé un peu de réconfort. Ces lectures qui portaient les mots que j’avais au fond de moi me procuraient un apaisement éphémère. Les mots prisonniers de la douleur sortaient, les maux silencieux se libéraient quelque peu. Je souhaite que ce récit constitue une aide, une sorte de baume au coeur pour tous ceux qui auront à surmonter la perte d’un être cher. »

 

Une journée particulière

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Anne-Dauphine Julliand nous raconte comment se déroule, pour elle, en tant que maman endeuillée, le jour de l’ anniversaire de sa  fille, qui aurait eu 8 ans … une journée tellement particulière pour des parents dont l’enfant est décédé : que faire , comment traverser au mieux ses émotions ?

Anne-Dauphine Julliand aime à penser qu’il est possible de gravir des montagnes en talons hauts. Elle a le talent de croquer les émotions de tous les jours. Elle nous raconte sa vie de famille pas tout à fait comme les autres : l’homme de sa vie, Loïc, ses fils Gaspard et Arthur, mais aussi Azylis, son autre princesse, malade elle aussi. C’est une leçon de bonheur et une merveilleuse histoire d’amour, qui se lit d’un souffle, le cœur au bord des larmes. Anne-Dauphine Julliand est journaliste et vit à Paris.

 

Après le suicide d’un proche

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Une personne que vous aimiez s’est donnée la mort et depuis c’est le chaos. Face au vide, à la détresse, à l’impuissance, où trouver la force de continuer à avancer – et d’abord de survivre au suicide de son compagnon, de son parent, de son enfant ? Face à ce cataclysme, les mots manquent, d’autant que dans une société où la mort est un tabou, le deuil lié au suicide l’est encore davantage. Christophe Fauré aborde tous les aspects de cette souffrance pas comme les autres : le gouffre de la culpabilité, la colère, le vécu dépressif et le désespoir, la tentation d’en finir à son tour, les difficultés dans la relation avec autrui, l’extrême solitude, le désarroi des proches… À partir de très nombreux témoignages, qui sont autant de reflets de la diversité des situations, il s’adresse à celui qui reste lorsque l’autre est parti et à son entourage, si démuni pour l’aider. Ces paroles sur l’indicible sont là pour aider le lecteur non pas à oublier, mais à nommer sa souffrance afin que la cicatrisation s’opère, lentement, en sachant que cette blessure ne guérira jamais tout à fait.

 

Mon histoire, c’est votre histoire

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Stéphanie Bataille, comédienne, metteur en scène et
directrice du Théâtre Antoine raconte son histoire dans un
livre « Mon histoire, c’est votre histoire »
Stéphanie a perdu son père, mort de la Covid-19, virus attrapé
à l’hôpital alors qu’il devait subir une opération du cœur.
Malgré de nombreuses demandes, des appels répétés aux
médecins, elle n’a pas pu le visiter, ni le soutenir. Il est mort
dans la plus grande des solitudes. « J’aimerais qu’on remette
l’humain au centre du monde, de la société. En unité Covid,
nous n’avons pas le droit à des visites. Nous avons aussi été
privé de sa mise en bière »
Depuis, elle se bat pour que les règles changent. Avec Laurent
Frémont, elle a créé le collectif Tenir ta main pour obtenir le
droit de visite systématique des familles à leurs proches et
soutenir des milliers de familles confrontées au même sort
qu’elle.